Programme musical
LA TRAGÉDIE DE CARMEN
Opéra en un acte
D’après l’opéra de
Georges Bizet
(1838-1875)
Tiré de la nouvelle de Prosper Mérimée
Livret d’Henry Meilhac et Ludovic Halévy
Adaptation de
Marius Constant, Jean-Claude Carrière et Peter Brook
Direction : Jean-François Rivest
Direction de l’Atelier d’opéra : Richard Margison
Coach principal de l’Atelier d’opéra : Robin Wheeler
Mise en scène et narration : François Racine
Assistance à la mise en scène : Clémence Lavigne
Conception de la scénographie et des accessoires : Carl Pelletier
Conception des costumes : Margaux Tabary
Conception des maquillages et coiffures : Pierre Lafontaine
et Claudie Vandenbroucque
Conception des éclairages : Serge Pelletier
Chorégraphies : Noëlle-Émilie Desbiens
Maître de combat : Jean-François Gagnon
Jean-François Rivest, chef d’orchestre

« Assurément, le spectacle est beau et magistral, d’autant qu’il est porté en fosse par un grand OSM (Orchestre symphonique de Montréal), mené par Jean-François Rivest, qui a compris et mûri tant de choses. Quel impact pour quelle nuance? Quel « tempo intérieur » pour telle respiration ou tel suspense? Jean-François Rivest s’est posé toutes ces questions, et le travail du chef est une dramaturgie en soi. »
Christophe Huss, Le Devoir
Le chef d'orchestre québécois Jean-François Rivest est réputé pour son énergie, sa technique d’une extrême précision et son style passionné, émouvant et profondément engagé. Il maîtrise naturellement une très grande variété de langages musicaux (du baroque au répertoire d’aujourd’hui).
Invité régulier de nombreux orchestres, à Montréal, au Canada comme à l’étranger (États-Unis, Mexique, Pérou, France, Suisse, Espagne, Russie et Corée du sud), il a été chef en résidence à l’Orchestre symphonique de Montréal, de 2006 à 2009, où son passage a été particulièrement significatif, ainsi que directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Laval, pendant 10 ans, et du Thirteen Strings Ensemble d’Ottawa, pendant 5 ans.
Depuis le printemps 2021, il dirige le prestigieux orchestre de chambre I Musici de Montréal à titre de principal chef invité. Durant les derniers mois de 2021, en pleine pandémie, il a dirigé à l’Opéra de Lausanne et de Fribourg en Suisse, ainsi que huit concerts de l’Orchestre Symphonique du Pays Basque, en France.
Jean-François Rivest croit fermement que la carrière d’interprète doit se doubler d’une action pédagogique afin de former les prochaines générations de musiciennes et de musiciens. Il a œuvré au sein de plusieurs institutions et, tout particulièrement depuis 1993, à la Faculté de musique de l’Université de Montréal où il a enseigné longtemps le violon et maintenant la direction d’orchestre et divers cours d’interprétation avancés. Il est le fondateur, directeur artistique et chef principal de l'Orchestre de l'Université de Montréal (OUM).
À titre de directeur artistique du Centre d’arts Orford, (maintenant Orford Musique) de 2009 à 2015, il a présidé à la destinée de son académie prestigieuse et de son Festival international. Ses années à la tête du Centre d’arts ont été un franc succès et considérées par tous comme des années de grand renouveau artistique. Il s’est d’ailleurs vu décerner le Prix Opus du Directeur artistique de l’année 2011, par le Conseil québécois de la musique.
Formé au Conservatoire de Montréal et à la Juilliard School de New York, il a étudié principalement avec Sonia Jelinkova, Ivan Galamian et Dorothy DeLay, et s'est imposé rapidement comme l'un des meilleurs violonistes québécois de sa génération.
Il est père de quatre enfants et la famille est au cœur de sa vie. Jean-François Rivest est passionné de plein air et de nature (plongée sous-marine, kayak de mer, escalade, trekking, photographie) et compte de nombreuses expéditions importantes à son actif. Il détient un brevet de pilote privé et vole régulièrement à bord de son bon vieux Cessna. Par ailleurs, il croit que la nature, dans toutes ses manifestations, constitue une inspiration vitale dans la profession artistique.
Richard Margison, directeur de l’Atelier d’opéra de l’UdeM

Salué pour l’éclat et la beauté de ses notes aigues, le ténor Richard Margison compte parmi les chanteurs d’opéra les plus acclamés par la critique que le pays ait jamais connus. En plus d’être officier de l’Ordre du Canada, il est récipiendaire de trois doctorats honorifiques (McMaster University, University of Victoria et University of British Columbia) et de deux prix pour l’ensemble de ses réalisations (Giulio Gari Foundation et Licia Albanese-Puccini Foundation). Il détient également le titre de membre honoraire, la plus haute distinction du Royal Conservatory of Music.
Au cours des 25 dernières années, Richard Margison s’est produit régulièrement en tant que soliste principal dans les maisons d’opéra les plus prestigieuses, dont le Metropolitan Opera, le Royal Opera House Covent Garden, le Deutsche Oper Berlin, le Vienna Staatsoper, le San Francisco Opera, l’Opera Australia, le Liceu, le Théâtre de La Monnaie, l’Opéra de Montréal, l’Opéra de Québec, le Vancouver Opera, le Calgary Opera, le Manitoba Opera, l’Edmonton Opera et la Canadian Opera company.
Depuis quelques années, il consacre davantage de temps à l’une de ses passion, l’enseignement, afin de contribuer au développement de la prochaine génération d’artistes lyriques. Richard Margison est professeur adjoint en chant classique à la Faculté de musique de l’Université de Montréal, en plus d’être cofondateur et codirecteur artistique du Highlands Opera Studio avec Valerie Kuinka. Par ailleurs, il est directeur artistique de l’Institut canadien d’art vocal (ICAV), organisme en résidence à la Faculté de musique de l’UdeM.
Les moments forts de sa carrière incluent ses interprétations de Bacchus dans Ariadne auf Naxos de Strauss au Teatro Campoamor d’Oviedo, en Espagne; la reprise de son célèbre rôle d’O’Brien dans l’opéra 1984 de Lorin Maazel à Valence; et Radamès dans Aida de Verdi au Metropolitan Opera.
Au cours de la saison 2009-2010, il a participé à l’inauguration de l’Opéra de Canton, en Chine, jouant l’un de ses rôles les plus célèbres, Calaf, dans Turandot de Puccini, sous la direction de Lorin Maazel. « L’un des rare vrai tétor lirico-spinto, avec la capacité de [chanter] les rôles dramatiques les plus lourds, Richard Margison est l’héritier de Plácido Domingo... Il colore sa voix avec une facilité et une spontanéité qui semblent presque conversationnelle, et il chevauche le grand orchestre de Turandot, qui comprend des percussions supplémentaires aux sonorités exotiques, avec aisance et beauté. » (Financial Times, mai 2010)
Sur DVD, on peut voir Richard Margison dans les rôles de Bacchus dans la production Ariane auf Naxos du Metropolitan Opera – aux côtés de Deborah Voigt et de Natalie Dessay –, de Cavaradossi dans Tosca, d’O’Brien dans l’opéra 1984 de Lorin Maazel, et d’Enzo dans La Gioconda de Ponchielli.
François Racine, metteur en scène

Lors d’un séjour avec l’ensemble de la Canadian Opera Company, François Racine a été l’assistant de Robert Lepage pour ses créations des opéras Erwartung et Le château de Barbe-Bleue. Il en a supervisé et remis en scène les représentations ultérieures à Édimbourg, Hong Kong et Melbourne ainsi qu’à Vancouver, Edmonton, Toronto, Cincinnati, Montréal, Québec et Seattle.
Il compte aussi à son actif plusieurs productions avec le Pacific Opera Victoria, la Canadian Opera Company de Toronto, l’Opéra de Montréal, l’Opéra de Québec, le Cincinnati Opera, l’Edmonton Opera, l’Opera Lyra Ottawa, le Vancouver Opera et le Seattle Opera.
En collaboration avec Kent Nagano et l’Orchestre symphonique de Montréal, il a mis en scène les versions de concert de Tannhäuser, Norma, La sonnambula, Saint-François d’Assise (Messiaen) et Das Rheingold. Avec Yannick Nézet-Séguin et l’Orchestre Métropolitain, il a mis en scène La clemenza di Tito à Orford Musique.
Au fil des ans, François Racine a dirigé des productions pour le Studio d’opéra de l’Université McGill – où il signa la mise en scène de Louis Riel qui reçut le prix Opus « Meilleure production de l’année 2005 » – ainsi que pour l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, les Jeunesses Musicales du Canada, le Conservatoire de musique de Montréal, l’Université d’Ottawa et le Cincinnati Conservatory of Music.
Metteur en scène régulièrement invité à la Faculté de musique de l’Université de Montréal, il a notamment dirigé Pelléas et Mélisande, les Dialogues des Carmélites, Suor Angelica et Gianni Schicchi, L’étoile, de même que L’enfant et les sortilèges. Depuis quelques années, il enseigne une approche adaptée du jeu dramatique pour les chanteurs et chanteurs d’opéra, au Cégep de Sainte-Foy et à l’Université de Montréal.
En novembre 2002, François Racine obtenait un diplôme de maîtrise en théâtre de l’Université du Québec à Montréal. Son mémoire portait sur le développement du jeu dramatique chez le chanteur d’opéra. L’excellence de son mémoire lui a valu le prix André Maréchal.
Distribution | Les solistes de l'Atelier d'opéra de l’Université de Montréal
Carmen
Queen Hezumuryango-Dushime (12 avril 2022)
Hélène Picard (13 avril 2022)
Don José
Emmanuel Hasler (12 avril 2022)
River Guard * (13 avril 2022)
Micaëla
Ariane Cossette (12 avril 2022)
Sarah Raiss (13 avril 2022)
Escamillo
Ricardo Galindo (12 avril 2022)
Théo Raffin (13 avril 2022)
Lilas Pastia
William Aziz
Zuniga
Justin Domenicone
Garcia
River Guard * (12 avril 2022)
Emmanuel Hasler (13 avril 2022)
Une vieille gitane
Maria Pandolfo
*Soliste invité
Musiciens et musiciennes de l’Orchestre de l’Université de Montréal
sous la direction de Jean-François Rivest
Daphnée Sincennes Richard et Laurent Tanguay, violons
Quinn Robinson, alto
Félix Nunes, violoncelle
Étienne Beaulieu-Gaul, contrebasse
Félicia Lévesque, flûte
Andréanne Chartier-Labrecque, hautbois et cor anglais
Gwénaëlle Ratouit, clarinette
Maxime Hargous, basson
William Laurin, trompette
Erin Sullivan, trombone
Myriam Brodrick, cor
Béatrice Roy, timbales et percussions
Amaëlle Savary, harpe
Tony Stauffer, piano
Jeff Poussier Leduc, gérant et musicothécaire
Synopsis
Premier tableau
Dans une prison mexicaine, à la veille de son exécution, Don José reçoit la visite de Micaëla, son amour de jeunesse. Micaëla transmet à José une lettre de sa mère et un peu d’argent afin qu’il soit bien traité en prison. Ils se parlent à travers les barreaux de la cellule et évoquent le passé, dans leur village. Puis, José se remémore l’enchaînement des évènements qui l’ont conduit en prison.
Deuxième tableau
Dans le bar de Lilas Pastia, repère des trafiquants de drogue, Carmen, danse et chante pour les clients. Elle jette son dévolu sur Don José et lui lance une fleur. Plus tard, dans ce même bar arrive le célèbre toréador Escarmillo. Il ne reste pas insensible à la beauté de Carmen et il exprime son désir de l’avoir auprès de lui. Jaloux, Don José le provoque en duel, mais Carmen les sépare.
Troisième tableau
Forcé de se cacher après avoir tué un homme, José s’est réfugié auprès de Carmen. Une vieille gitane procède au rituel du mariage gitan pour les unir. C’est sans compter avec Garcia, le mari de Carmen qui surprend les amants. S’ensuit un combat entre les deux hommes dont l’issue est fatale pour Garcia. Carmen lit alors dans les cartes le tragique destin qui l’attend. Peu après, Micaëla qui cherche à rejoindre José croise le parcours tragique de Garcia.
Quatrième tableau
Après avoir quitté José, Carmen est devenue la maîtresse d’Escarmillo, mais ce dernier est tué lors d’une corrida. José, qui épiait Carmen, la surprend et lui demande de partir avec lui; il lui affirme qu’il n’a pas cessé de l’aimer. Carmen refuse. Consciente de son destin révélé par les cartes, elle sera la dernière victime de Don José.
Florence Leyssieux
Musicologue
(Diplômée 2021 du Ph. D. en musique)
L'oeuvre
Note de programme
La tragédie de Carmen (1981)
En 1845, Prosper Mérimé fait paraître dans la Revue des deux mondes une nouvelle, Carmen. L’écrivain s’est inspiré d’un fait divers narré par Madame de Montijo alors qu’il séjournait à Madrid en 1830. Trente ans plus tard, adaptant la nouvelle de Mérimé, Meilhac et Halévy écrivent un livret pour l’opéra de Bizet Carmen, qui sera créé le 3 mars 1875. Si l’œuvre suscita quelques réserves lors de sa création, elle ne tarda pas à acquérir un succès jusqu’ici jamais démenti. Par la suite, la nouvelle de Mérimée et l’opéra de Bizet firent l’objet de plusieurs adaptations tant musicales que cinématographiques – dont une de Charlie Chaplin!
C’est en 1981 que le metteur en scène Peter Brook, le compositeur Marius Constant et l’écrivain Jean-Claude Carrière proposent une relecture de la nouvelle de Mérimé et l’opéra de Bizet. Ce sera La tragédie de Carmen, créée en novembre 1981 au Théâtre des Bouffes du Nord, à Paris L’accent est mis sur le caractère tragique de l’intrigue, l’action, ramenée à l’essentiel, est placée sous le signe de l’irrévocable fatalité.
Marius Constant a réorganisé la musique de Bizet, il a ajouté quelques intermèdes et il a réduit l’effectif instrumental. Les chœurs sont absents et le drame se concentre autour de quatre protagonistes : Carmen, Don José, Micaëla et Escarmillo. Quelques personnages secondaires interviennent ponctuellement tels l’officier Zuniga, l’aubergiste Lilas Pastia, Garcia, l’époux de Carmen et une vieille gitane.
Les grands airs sont conservés, l’éblouissante ouverture de Bizet est supprimée et remplacée par la musique du Trio des cartes : un sombre solo de violoncelle auquel vont peu à peu se joindre d’autres instruments. C’est ce même solo de violoncelle, suivi du rythme obsédant de la habanera confié aux percussions, qui clôturera l’œuvre. Débarrassée de tout l’aspect décoratif et pittoresque présent chez Bizet, La tragédie de Carmen est empreinte de gravité afin d’en extraire tout le caractère dramatique. La violence et la mort, omniprésentes, accompagnent Carmen et ceux qui l’approchent.
Si Peter Brook conserve le personnage de Micaëla, créé par Meilhac et Halèvy, il réintroduit plusieurs éléments présents chez Mérimé : le meurtre de Zuniga par Don José, la présence de Garcia, le mari de Carmen, et la mort d’Escarmillo. Ce dernier apparaissait chez Mérimé sous les traits de Lucas, un picador.
La relecture de Brook fait émerger les conflits intérieurs contre lesquels luttent les principaux personnages. José est écartelé entre son respect des conventions et sa fascination pour l’inconnu et la liberté que représente Carmen. Violent, tourmenté par l’amour exclusif qu’il porte à cette femme, il n’hésite pas à tuer les hommes qui approchent sa maitresse. Quant à Carmen, bien qu’elle se proclame libre dans la vie comme dans la mort, elle croit à l’immuabilité du destin; une contradiction propre aux héroïnes des tragédies. Si elle tente de lutter contre sa destinée en jouissant à l’excès de la vie, elle finira par résoudre cette contradiction en acceptant placidement la mort.
Mérimée, qui nourrissait un intérêt marqué pour les Bohémiens, a donné à son héroïne les traits d’une bohémienne. Ce choix situe d’emblée Carmen comme une figure singulière. Les Bohémiens, un peuple marginalisé, étaient alors entourés d’une aura de mystère, d’étrangeté et souvent accusés de sorcellerie. Toutes ces caractéristiques font de Carmen la femme exotique par excellence, celle qui exerce une fascination sur les hommes du 19e siècle, qui les ensorcelle par l’érotisme de ses danses et de ses chants. Elle s’affirme également comme une femme émancipée, défiant l’autorité et remettant en cause les conventions sociales de l’époque.
Florence Leyssieux
Musicologue
(Diplômée 2021 du Ph. D. en musique)
Équipe pour La tragédie de Carmen
Corps enseignant en chant classique de la Faculté de musique
Rosemarie Landry
Richard Margison
Monique Pagé
Francis Perron
Adrienne Savoie
Catherine Sévigny
Robin Wheeler
Équipe de production pour La tragédie de Carmen
Direction musicale
Jean-François Rivest
Mise en scène et narration
François Racine
Direction de l’Atelier d’opéra
Richard Margison
Coach principal pour l’Atelier d’opéra et préparation musicale
Robin Wheeler
Pianistes répétiteurs
Martine Jomphe, Mattia Senesi, Nataliia Babanova et Tony Stauffer
Conception scénographique
Carl Pelletier
Conception des costumes
Margaux Tabary
Conception des maquillages et coiffures
Pierre Lafontaine et Claudie Vandenbroucque
Conception et régie des éclairages
Serge Pelletier
Chorégraphies
Noëlle-Émilie Desbiens
Maître de combat
Jean-François Gagnon
Assistance à la mise en scène
Clémence Lavigne
Assistance à la scénographie
Fanny Bisaillon-Gendron
Assistance aux costumes et habilleuse
Hélène Falardeau et Jessica Robert
Direction de production
Hélène Gagnon
Régie de scène
Clémence Lavigne
Carl Pelletier
Sébastien Besson
Techniciens à la production de la salle Claude-Champagne
Sébastien Besson, Carl Pelletier et Serge Pelletier
Assistant technique de la salle Claude-Champagne
Samuel St-Hilaire
Responsable informatique et multimédia
François Gaudette
Conseiller multimédia
Jean-Michel Dumas
Assistant technique
Zakary Colello
Faites vibrer leur passion – Campagne de financement
Bourses d’aide financière liées à la 5e vague de la pandémie
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Merci de votre soutien
Nous remercions chaleureusement l’ensemble des donatrices et des donateurs de la Faculté de musique de l’Université de Montréal. La Faculté de musique est également fière de souligner la générosité de son corps professoral : ainsi, ce sont 100 % des professeurs en titre qui contribuent à la campagne de financement.
L’équipe facultaire salue tout particulièrement :
LA MUSIQUE EN HÉRITAGE : MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DU PATRIMOINE La société du patrimoine regroupe, remercie et honore les personnes qui s’engagent à donner à l’Université de Montréal par voie testamentaire ou sous toute autre forme de dons planifiés. | ||
Angers, Denise | Grisé, Yvette | Succession George-Cédric-Ferguson |
SYMPHONIE | ||
Angers, Denise | Desmarais, Jacqueline† | Desmarais, Sophie |
CONCERTO Dons cumulatifs de 100 000 $ à 999 999 $ | ||
Anonyme (2) | Fichman, Stephen | Le François, Thérèse† |
SONATE Dons cumulatifs de 10 000 $ et plus | ||
Anonyme (7) | Feher, Mary M.J. | Moisan, André |
SERENADE Dons annuels 1 000 $ et plus Dernier don à partir de 2020 | ||
Anonymes (16) | Durivage, Simon | Mccutcheon, Peter |